Comme un mélange de mensonge et de vérité ;
Romane, c'est la poupée de porcelaine qu'on à peur de briser. C'est la fille si fragile qu'on veut protéger. C'est cette étrangère au regard si doux qui nous fait fondre. Et comme vous pouvez vous en douter, c'est une vélane. Cette couleur blonde presque blanche est transmise de génération chez les femmes dans la famille Cohen. Et c'est pourquoi Romane est aussi agréable au regard qu'en parole. Elle semble si belle, si parfaite. Heureusement ça aura servie à quelque chose alors, car ce qu'on voit en façade n'est pas toujours ce qui se trouve au fond, tout au fond, des personnes. Dans son enfance Romane à été souillée, détruite, salie. Elle a été battu, maltraitée, délaissée. C'est alors qu'une idée horrifiante lui es venue à l'esprit. La vengeance. Une vengeance, froide, amère, cruelle. Mais aujourd'hui, les beau yeux vert de Romane ne fond plus ressortir ce jour sombre de son existence, ils fond plutôt ressortir ce que la jeune fille récent. Car tout ce qu'elle peut ressentir transparaît dans ses yeux. Ce n'est pas qu'elle est timide, mais les joues de Romane son souvent tintée un peu dans les tons rose, pour mettre un peu de couleur à son teint assez pâle. Chaque jour, elle passe une nouvelle couleur sur ses fines lèvres. Chaque jour, elle change de style de coiffure et rajoute une petite babiole selon son humeur. Elle adore s'attacher les cheveux et se faire des coupe extravertie, et elle déteste qu'on lui dise qu'elle est plus belle les cheveux lâchés. Elle peut faire des petites crises pour ça, mais ça reste adorable. Tout en elle nous donne envie de la croquer.
HISTOIRE
« Les tortues croassent. »
Un soir de septembre, le dix-neuf plus précisément, une petite tête blonde vu le jour, une petite fille qui faisait la fierté de ses parents. Une gentille fille, qui écoute ses parents et qui adorait apprendre et travailler. De ce côté la, aucun problème cette jeune fille surdouée aurait toute ses chances pour réussir sa vie. C'est dès son plus jeune âge qu'elle démontra ses talents de sorcières ce qui ne fit rendre ses parents que plus fière d'elle, cependant une pièce manquait au puzzle. Madame Cohen était en faite une vélane, ainsi que sa mère et que sa grand-mère et cela durait depuis plusieurs générations. Et les heureux parents restait cependant en suspens, attendant le miracle que ne se produisais pas. Bien sur, on ne découvre pas qu'on est vélane quelques jours après la naissance, ni même quelques mois. Ils faudrait au moins plusieurs années avant la haine incontrôlable s'imprègne du corps de la personne et que ses membres deviennent plus solides, plus résistants, pour que ses os ne se brisent pas lors de la première transformation. En attendant, le couple continuait à espérer tout en regardant grandir leur fille jour après jour. Cependant, Théodore Cohen, travaillant au Ministère dans la justice magique, n'était pas la assez souvent pour donner à sa fille l'amour d'un père. La petite Clarisse en à beaucoup souffert mais à toujours su rester digne et ne jamais lui faire honte.
« Marie ! Maman m'a dit d'y aller toute seule si papa venait paaas ! Tu peux me laisser partir tu sais. » je lui jetais un mauvais regard. Ce jour la, c'était mon anniversaire, et toute la journée j'avais patienté. Et oui, aujourd'hui j'avais 8 ans et je me réjouissais à l'idée de ce que j'avais pus demandé à papa et donc de ce qu'il allait m'offrir. J'avais du mal à retenir une petite colère qui montais en moi. « Ecoute Clarisse, je t'aime. Tu sais que je t'aime ? » « ... » « Et ta maman aussi doit beaucoup t'aimer ! Et ton papa aussi ! » « Oui, je sais, mais j'ai vraiment très envie de les retrouver Marie ! » elle me toisa d'un regard compatissant et me souria « Je te comprend tu sais, moi aussi quand j'étais petite j'avais toujours hâte de recevoir mon petit cadeau d'anniversaire. Mais je ne peux pas te laisser partir comme ça, toute seule, ma puce. Est-ce que tu peux comprendre ça ? ». Je réfléchis un instant. Si je lui faisais croire que j'étais d'accord avec elle, et qu'elle s'absenterait pour une quelconque raison, je pourrais sortir par la porte principale... « hm... d'accord. Mais j'espère qu'ils arrivent bientôt parce que je vais vraiment finir par m'impatienter Marie ! » elle conserva son sourire malgré la pointe d'insolence dont venait de faire preuve Romane « Si tu veux je peux appeler ton père et lui demander quand compte arriver ? Si ça peut te faire plaisir ma petite sorcière. » dit-elle en me pinça les joues avec ses doigts. parfait, songeais-je. « Oh oui ! » Alors qu'elle s'éloignait je commençais à mettre mon manteau, mes ballerine et j'ouvrais la porte sans penser à la refermer. Une brise légère souleva un peu ma robe mais je ne m'en souciais pas. Etant dotée d'un sens de l'orientation excellent, je retrouvais vite la rue principe qui conduit aux grandes résidences. Cependant, il y avait toujours cette fameuse rue sombre qui me faisais toujours un peu peur.. Mais à cette age je ne pensais pas qu'on pouvais me vouloir du mal, qu'on veille me tendre un piège. Me pièger pour quelque chose de tellement bète... J'avalais difficilement ma salive, j'avais sentis le danger. Comme C'était un horrible monstre, un espèce de truc mi-homme mi-bête qui m'a sauté dessus. La colère s'est aussitôt emparée de moi, cette enfoiré voulait mes cheveux ! J'ai ressentie comme l'explosion d'un volcan et l'arrivage d'un nouveau sentiment...la haine. Mais une haine étrangère. Je ressenti alors la douleur. Une douleur indescriptible, une douleur cruelle, sans merci. Je sentais une transformation se faire en moi. Un moi très profond alors, mais j'étais comme...habituée... même si j'ai particulièrement souffert. Oui, car la première fois, c'est normal je dirais, mais on s'y fait rapidement. J'envoyais un puissant jet de flamme à mon assaillant et jetais un rapide coup d'oeil à mes bras...qui étaient devenu de grandes ailes recouvertes d'écailles. Et puis tout devins soudain flou et je me laissais embarquée dans ma rage. Folle.
Quand je me réveillais, j'étais dans un grand lit. Mais pas un lit comme il y a en a dans les hôpitaux dans le monde des moldus. Non. J'étais plutôt dans un espèce de château, et le lit dans lequel je me trouvais me faisait penser à celui qu'a grand-ma Clarisse. C'est alors que je me rendis compte que j'étais dans un hôpital de sorcier. Une pièce un peu lugubre mais qui nous est tout familière d'une certaine façon, nous les sorciers. « Maman ? » demandais-je à la femme qui se trouvait à mon chevet. Elle releva la tête, une étincelle dans les yeux. « Clarisse ?! Ma fille ! Ma chère fille ! Tout va bien ? Tu as mal à la tête peut-être ? » m'enlaçant un peu trop fort à mon goût je répliquais « Ca va maman, j'ai rien. Tu peux me lâcher maintenant ? » je reprise une grande bouffée d'air. Je tentais vainement de me rappeler mais rien ne me revenais à la mémoire de ce qui avait pus se passer hier ? Avant hier ? Ou encore plus loin dans le passé ?... Je ne savais quoi en penser. C'est à ce moment la que je remarquais l'homme adossé à la porte. « Papa... » il me...comment dire... fusillait du regard. Ma vue était cependant encore trouble et je priais pur m'être trompée. Au début, j'eu peur qu'il soit vraiment en colère, une colère noire comme il nous en fait quand il ne va pas bien. Je m'étais pourtant promise de ne jamais le décevoir, lui l'homme que j'admirais le plus. Je pensais que ma promesse allait tenir plus longtemps, au moins jusqu'à ce que je sois assez grande pour voler de mes propres ailes et pour assumer mes erreurs. Il fit un pas, puis un autre, et un autre et encore en autre, jusqu'à ce qu'il arrive avec mon chevet...et me souris. |
CARACTERE
Enjouée Possessive Créative Calculatrice Captivante Vengeuse Attentionnée Maladroite Raffinée Charmeuse
BUSE
- Botanique : A - Défense Contre les Forces du Mal : O - Potions : EE - Sortilèges : O - Métamorphose : A - Histoire de la Magie : O - Métamorphose : O - Astronomie : A - Etude des Runes : E
FAMILLE
Isidor Cohen grand-père paternel Alissan Castaway grand-mère paternel Boris McAllister grand-père maternel Dianna Flavershamm grand-mère maternelle (†)
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